David Saroni France : Manger et bouger
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En réalité, nous devons le réseau social moderne à plusieurs petites innovations qui sont intervenues en cours de route et qui ont débuté au centre des années 1990. Certes, Myspace et Facebook ont beaucoup fait pour définir le réseau social moderne. Le réseau social d’aujourd’hui et le rapport que nous entretenons avec est le résultat d’améliorations dues à une concurrence de plus en plus féroce entre ces « nouveaux » acteurs du numérique. Les recentes années furent marquées par un de scandales impactant négativement les réseaux sociaux : violation de la vie privée, exploitation des données à des vues, impact sur la santé mentale des individus. Oui, vous avez bien entendu, « santé mentale ». En même temps, lorsque vous discutez sur Messenger avec un compagnon, la mention « Vu » indiquant que vous avez vu et lu le message n’est-elle pas la chose la plus irritante et intrusive qui soit ? Je suis sûr qu’un de vos amis vous a déjà sorti : « Et mais pourquoi tu ne réponds pas sur Messenger ? C’est marqué que tu as vu mon message ! ». Rien de tel pour se sentir « prisonnier » du réseau social. L’avenir des réseaux sociaux se doit d'être motivé par des innovations qui nous aident à lutter contre les atteintes à la personne et les mauvaises habitudes. Réduire les abus, les fakes news, le spam.
l'assistance de ces nouveaux « influenceurs » dans la taille public se caractérise simplement par la popularité des diffusions de téléréalité et par l’intérêt qu’ont monsieur et madame Tout-le-monde à continuer qu'il faut effectuer les participants en dehors du petit écran, après leurs aventures. Ayant centralisé l’intérêt de dizaines et souvent de centaines de dizaines de milliers de personnes sur leur profil en ligne, ces « nouvelles vedettes » peuvent ensuite utiliser leurs plateformes de réseaux sociaux pour interagir avec une large communauté. Au-delà de l’interaction organique, l’influenceur peut choisir de monétiser son nouveau pouvoir, soit son influence, auprès du public qui le suit en acceptant des collaborations rémunérées pour concevoir du contenu ou passer certains messages publicitaires. il y a bien sûr plusieurs types d’influenceurs, dont la pertinence change grandement selon de nombreux critères : leur métier d’origine, l'excentricité dans la conception de leur contenu, le ton et le rythme employés, la fréquence des publications, la catégorie de conversation entretenue avec la communauté, la sélection des collaborations selon les applications, les valeurs et l’expertise de l’influenceur et de sa communauté, etc. Après les déboires de certains, c’est l’occasion de se questionner. Comment bien choisir ce qu’on consomme ? Pourquoi encourager certains contenus ? Et surtout de choisir : à qui souhaitons-nous donner la parole sur nos plateformes sociales ? Qu’on les préfère ou non, les social medias sont là pour de bon et le concept de l’influence aussi, alors participons-y positivement et activement pour en faire un lieu enrichissant, fun et bienveillant pour tous.
En pleine campagne présidentielle aux USA, il part à la « trouvée des gens » en selon un groupe de 600 électeurs du comté d’Erié dans l’Ohio. Durant cette enquête, il prouve que le vote n’est pas seulement un choix individuel mais qu’il existe des variables liées au… réseau social de l’individu. On découvre que les réseaux amicaux et les milieux familiaux sont globalement homogènes dans leurs choix vues. Pour la première fois sont évoqués les opinion leaders dans une théorie de l’influence interpersonnelle. Leurs spécificités seraient une forte sensibilisation aux médias et une capacité de reformulation des enjeux politiques dans les échanges quotidiens. Ils ont donc un rôle d’intermédiaire, de facilitateur, de relais. Un pas est dès lors franchi dans l’étude des médias : la communication n’est pas unidirectionnelle et directe vers un récepteur passif, elle est à deux étages et se déroule en deux temps, à travers des relais d’information ( the two-step flow of communication ). Puis dans Personal Influence mis en ligne en 1955, il en ressortira que les relations interpersonnelles sont supérieures aux réseaux dans les actes de décision. En somme, les théories de la seringue hypodermique et de médias ultra-puissants deviennent obsolètes. Les effets des médias sont indirects et limités par les possibilités d’analyse des individus et leur réseau social.
Quand est né le terme influenceur ? Même si ce mot a fait son apparition récemment, ce phénomène est loin d’être nouveau. Par exemple, toutes les stars qui ont participé à des campagnes publicitaires sont aussi des influenceurs. Pour être précis, c’est Paul Lazarsfeld, un sociologue américain, qui, en 1940, développe le concept d’influenceur. de plus Quand Devient-on influenceur ? Du coup, quand est-on influenceuse ? Si vous avez bien suivi mon paragraphe précédent, vous êtes normalement en mesure de répondre par vous-même à cette question : on devient influenceur, au sens marketing, lorsqu’on est suivi par une communauté de personne suffisamment importante pour intéresser une marque. Le marketing d’influence est un mixe d’anciens et de nouveaux outils de marketing. Il prend en tête de l’approbation des célébrités et la place dans une campagne marketing moderne axée sur le contenu. Dans le marketing d’influence les serp de la campagne sont des collaborations entre marques et influenceurs. Le marketing d’influence n’implique pas uniquement des célébrités. Il tourne autour d’influenceurs, dont beaucoup ne se considèrent pas comme célèbres en dehors de leurs réseaux sociaux. aujourd'hui, le marketing d’influence est devenu primordial dans la dimension stratégique des marques. Comme Scott Cook, PDG d’Intuit, a déclaré à plusieurs reprises : «Une marque n’est plus ce que nous disons au client, c’est ce que les utilisateurs se disent».
Si vous utilisez les réseaux sociaux uniquement pour pousser de la publicité, de la promotion, des financements de produits ou autres vous ne retirerez pas une grande efficacité des réseaux sociaux. Cela semble logique par rapport au base de base : parler avec sa communauté. Des publications centrées uniquement sur de la pub / promo vont désintéresser votre audience et vous éloigner d’elle. Cela n’empêche pas de promouvoir ses produits et son expérience mais dans un situation différent de la publicité, avec un angle indicatif, d'interaction. Pour faire de la publicité il existe des espaces dédiés comme Facebook ads ou Instagram ads. Ils aident à promouvoir ses produits et son savoir faire avec des annonces individualisés et sponsorisées. Si vous comparez Instagram et Linkedin arriverez dans deux mondes différents. En effet Instagram a une audience grand, il est plutôt orienté B2C, il est basé sur l’image ( bien qu’il ne faille pas mettre de côté le contenu ), alors que Linkedin a du trafic plus ciblée “professionnels”, il est orienté btob et nécessite des contenus plus textuels pour communiquer. Certains réseaux peuvent d’avoir des fonctions plutôt passives ou ciblées notamment Twitter, souvent utilisé pour de l’actualité, Linkedin très orienté b2b, Instagram sur lequel on va souvent suivre des marques, Pinterest pour trouver des visuels ou de l’inspiration, Youtube pour des films et de la vidéo, etc.
1. sept milliard de personnes emploient au minimum un réseau social dans le monde, dont 31 millions en France. Pour les sociétés, les social medias sont une formidable opportunité pour se rendre visible du bout de la rue jusqu’au bout du monde. Ils permettent de gagner de nouveaux clients, de fidéliser, de communiquer autrement avec sa communauté ou tout simplement de récolter des données. Bien utilisé, le retour sur investissement d’un réseau social est exponentiel ; d’autant que leurs campagnes publicitaires ne coûtent pas à coup sûr très cher. Mal utilisés, par contre, l’effet peut être quasi nul, voire négatif ou très en cas de bad buzz, ruinant la renommée de toutes entreprises en moins de 10 secondes. En bref, les social medias servent plus à raconter son entreprise qu’à faire connaitre en direct ; à manifester ses valeurs, sa vision… Le story telling, le suspense, l’effet teaser…Ces modes de communication permettent de créer une communauté de prospects adeptes de vos valeurs, d’identifier les ambassadeurs les plus aptes à les transmettre, mais aussi à communiquer autrement avec votre clientèle, non pas en format indicatif et descendant, mais en format communautaire, basé sur l’échange et la prise en compte instantanée des suggestions et critiques pour pouvoir améliorer votre offre. Les social medias servent à ça, car ils sont construits en ce sens ; sur un modèle de communication communautaire.
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